Le cyclo-cross devient de plus en plus une discipline à part entière alors qu’il y a encore quelques années elle était considérée comme une pratique de préparation à la saison routière. Certains directeurs sportifs ne juraient que par ça l’hiver.
Les circuits d’une longueur de 3 km environ, sont tracés sur les terrains les plus divers (routes, prairies, chemins, sous-bois, sentiers, etc…) comportant des portions obligatoirement effectuées à pied. L’alternance de difficultés et de récupérations rapides permet aux coureurs d’exprimer leurs qualités physiques et techniques.
Les obstacles artificiels, s’ils s’avèrent nécessaires, ne pourront, à aucun moment être supérieurs à 40 cm de hauteur, le but recherché étant de faire descendre les coureurs de leur vélo. Les descentes, non dangereuses, de préférence techniques, doivent pouvoir s’effectuer à bicyclette. De façon générale, les escaliers ne peuvent être empruntés qu’en montée.
Les départs et les arrivées doivent être prévus sur la route ou, à défaut, sur des portions de chemins dits « stabilisés ».
La durée de la compétition varie selon l’âge et le niveau des pratiquants (1 heure maxi pour les coureurs Élite).
Au club, le cyclo-cross est pratiqué par quelques adeptes ; elle reste une discipline marginale. En 2020, par exemple, deux pilotes pratiquent cette discipline sur les circuits essentiellement UFOLEP.
Texte inspiré de la présentation mise en ligne sur ffc.fr que vous pouvez découvrir ICI.